LACHZOR HABAYITA |
Lachzor HaBayita
Davka ksheh chashuch ksheh hakol hafuch Motz’im shvilim lehitgaber Lehishtachrer, Kol hashe’elot matchilot lehipater Kshekvar chashavti rega levater Ra’iti et hashemesh mesanveret et harchov Mikol hara sheba’olam sheyihey li tov Mikol hara sheba’olam sheyihey li tov Kol hachalonot niftachim lir’ot Ru’ach ba’a bagagot Ume’ifa kacha bitnufa Et sheyavash velo yachzor Kshekvar chashavti rega la’azor Tamid zarach od boker l ehafri’ach velishmor Mikol hachoshech ba’olam tamid yihyeh li or Mikol hachoshech ba’olam tamid yihyeh li or Kol hatchala noset ita tfila Tfila she’eshamer Kol nefila oti rak ma’ala Ve’ani egba yoter Mikol ma shebo’er lemata Basof harey tamid rotzim lachzor habayta Kol mi she’avar banativ hatzar Yode’a lehodot lamerchavim haretuvim La’ofek ha’otef et hasadot Kshekvar chashavti shehalev shavir Chazru elai enayim leha’ir bemabatan Mikol hakor sheba’olam sheyihey li cham Mikol hakor sheba’olam sheyihey li cham Kol hatchala noset ita tfila Tfila she’eshamer Kol nefila oti rak ma’ala Ve’ani egba yoter Mikol ma shebo’er lemata Basof harey tamid rotzim lachzor habayta Tfila she’eshamer Kol nefila oti rak ma’ala Ve’ani egba yoter Mikol ma shebo’er lemata Basof harey tamid rotzim lachzor habayta. |
Revenir à la maison
Effectivement, lorsque tout est sombre, Lorsque tout est sans dessus-dessous, On trouve des moyens pour triompher, Pour se libérer, Tous les problèmes commencent à être résolus. Quand, un instant, j’ai pensé abandonner, J’ai vu le soleil voiler la rue De tout le mal qui est dans le monde, Tout ira bien pour moi, De tout le mal qui est dans le monde, Tout ira bien pour moi. Toutes les fenêtres s’ouvrent pour voir Le vent qui court sur les toits Et fait ainsi s’envoler d’un coup Ce qui est desséché et ne reviendra pas. Quand, un instant, j’ai pensé arrêter, Un nouveau matin s’est levé Pour tout chasser et me préserver De toute la noirceur du monde, Qu’une lumière brille toujours pour moi, De toute la noirceur du monde, Qu’une lumière brille toujours pour moi. Tout commencement porte en lui une prière, Une prière que je garderai. Chaque chute ne fait que me grandir Et je m’élèverai davantage De ce qui brûle en bas, Finalement c’est un fait que toujours Nous voulons retourner à la maison. Quiconque a traversé un chemin étroit Sait remercier pour les étendues humides, Pour l’horizon qui couvre les champs. Lorsque j’ai pensé que le cœur est fragile, Des yeux se sont tournés vers moi pour m’éclairer de leur regard. Parmi toute la froidure du monde, qu’il y ait pour moi de la chaleur. Parmi toute la froidure du monde, qu’il y ait pour moi de la chaleur. Tout commencement porte en lui une prière, Une prière que je garderai. Chaque chute ne fait que me grandir Et je m’élèverai davantage De ce qui brûle en bas, Finalement c’est un fait que toujours Nous voulons retourner à la maison. Une prière que je garderai. Chaque chute ne fait que me grandir Et je m’élèverai davantage De ce qui brûle en bas, Finalement c’est un fait que toujours Nous voulons retourner à la maison. | |
Texte : Keren Peles. |
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